dimanche 30 décembre 2007
samedi 29 décembre 2007
Plaques as de trèfle - Almanach Hachette 1912
Fabricant de plaques et papiers photographiques,
7, rue du trésor, Paris, puis Saint-Maur (Seine)
Des photos de boites de plaques photographiques: LE SITE
Un document sur les techniques de la photographie: VICTOR DE CESSOLE (en PDF)
Un très bon site sur la photographie: PHOT'OPTIC
Un document sur les techniques de la photographie: VICTOR DE CESSOLE (en PDF)
Un très bon site sur la photographie: PHOT'OPTIC
Libellés :
1912,
Accessoires (Accessories),
Almanach Hachette,
France
Parfum de Silvy (Magazine mode illustrée mars 1921)
Libellés :
1921,
Beauté (Beauty)
Velorobot Chasseur Français magazine 1955
Elle vient du catalogue MANUFRANCE inséré dans le magazine "chasseur français" de 1955.
"Le Cyclomoteur selon Manufrance: (extrait du site: http://cfcs50.com/)
La Manufacture d’Armes et Cycle de St Etienne est venue très tôt au 2 roues motorisé (en 1910), mais ce qui nous intéresse aujourd’hui c’est sa présence dans le domaine du cyclomoteur.
En 1948 au catalogue existe la possibilité d’équiper un modèle de vélo à cadre homme ou dame avec le moteur VAP4 monté au niveau de la roue AR. Cette possibilité est maintenue en 1950. En 1951 apparaît un vrai cyclomoteur avec le moteur Le Poulain à pédalier incorporé dénommé Cyclobloc, ce modèle à chaîne unique est associé à un dérailleur 3 vitesses. En 55 ce modèle a évolué avec nouveau réservoir et fourche télescopique, il est complété par un modèle le VELOROBOT à moteur le Poulain type Junior Servomatic et embrayage automatique. L’année suivante évolution de ce dernier, avec des carters de protection moteur et chaîne en plastique stratifié et une fourche dite à balancier (en fait à roue poussée). En 1958 la gamme VELOROBOT comporte 4 modèles, tous motorisés avec la Junior Servomatic. En 1961 la gamme diffusée est totalement renouvelée tant au niveau des cadres que de la motorisation désormais confiée à Lavalette, en fait ces modèles sont ceux également diffusés (et fabriqués ?) par FOLLIS dont un modèle qui à la fourche prés, est le PALOMA MONZA (qui existe depuis 1958). En 1962 un cyclomoteur sport à 3 vitesses à main Lavalette - Morini est monté avec un cadre de Giulietta GSS mais avec accessoires français dont le réservoir du MONZA et fourche à phare caréné typique de chez Follis.
Les années suivantes verront une évolution des modèles qui là seront puisés dans la gamme diffusée par les Ets JEUNET(Captivante)."
En 1948 au catalogue existe la possibilité d’équiper un modèle de vélo à cadre homme ou dame avec le moteur VAP4 monté au niveau de la roue AR. Cette possibilité est maintenue en 1950. En 1951 apparaît un vrai cyclomoteur avec le moteur Le Poulain à pédalier incorporé dénommé Cyclobloc, ce modèle à chaîne unique est associé à un dérailleur 3 vitesses. En 55 ce modèle a évolué avec nouveau réservoir et fourche télescopique, il est complété par un modèle le VELOROBOT à moteur le Poulain type Junior Servomatic et embrayage automatique. L’année suivante évolution de ce dernier, avec des carters de protection moteur et chaîne en plastique stratifié et une fourche dite à balancier (en fait à roue poussée). En 1958 la gamme VELOROBOT comporte 4 modèles, tous motorisés avec la Junior Servomatic. En 1961 la gamme diffusée est totalement renouvelée tant au niveau des cadres que de la motorisation désormais confiée à Lavalette, en fait ces modèles sont ceux également diffusés (et fabriqués ?) par FOLLIS dont un modèle qui à la fourche prés, est le PALOMA MONZA (qui existe depuis 1958). En 1962 un cyclomoteur sport à 3 vitesses à main Lavalette - Morini est monté avec un cadre de Giulietta GSS mais avec accessoires français dont le réservoir du MONZA et fourche à phare caréné typique de chez Follis.
Les années suivantes verront une évolution des modèles qui là seront puisés dans la gamme diffusée par les Ets JEUNET(Captivante)."
Dubonnet - Almanach Hachette 1912
Libellés :
1912,
Almanach Hachette,
Boisson (Drink),
France
vendredi 28 décembre 2007
Hennessy Henco (la France à table octobre 1959)
Vous voulez acheter des affiches anciennes HENNESSY : MEMORY-PUB.COM
Libellés :
1959,
Boisson (Drink)
Cognac Renault (la France à table octobre 1959)

Un deuxième COGNAC RENAULT
Libellés :
1959,
Boisson (Drink),
France,
La France à Table Magazine
Cognac Otard (la France à table octobre 1959)
Libellés :
1959,
Boisson (Drink),
France,
La France à Table Magazine
Cognac Bisquit (la France à table Octobre 1959)

Libellés :
1959,
Boisson (Drink),
France,
La France à Table Magazine
Cognac Barnett (La France à table Octobre 1959)

Libellés :
1959,
Boisson (Drink),
France,
La France à Table Magazine
jeudi 27 décembre 2007
Hennessy (Chasseur Français magazine sept 1957)
Hennessy est une maison de cognac, fondée en 1765 et basée à Cognac en Charente.
Fondée par Richard Hennessy, un irlandais venu s'établir à Cognac et elle fut surtout développée par son fils Jacques dès 1785.
Elle appartient au groupe LVMH et représente le H du nom du groupe. Hennessy est la marque de cognac la plus vendue au monde.
Pour l'anecdote, de nombreux irlandais croient que la marque est irlandaise, du fait de l'origine de son nom.
Fondée par Richard Hennessy, un irlandais venu s'établir à Cognac et elle fut surtout développée par son fils Jacques dès 1785.
Elle appartient au groupe LVMH et représente le H du nom du groupe. Hennessy est la marque de cognac la plus vendue au monde.
Pour l'anecdote, de nombreux irlandais croient que la marque est irlandaise, du fait de l'origine de son nom.
Libellés :
1957,
Boisson (Drink),
France,
La France à Table Magazine
mercredi 26 décembre 2007
Publicité diverses (Brochure du musée basque) 2

MUGICA (Chocolat basque)
LE RAYON VERT (Souvenirs)
Pour infos:
Zazpiak Bat est une expression basque qui signifie « les Sept [provinces] font Une », de zazpi (« sept »), ak (« les ») et bat (« un »). Elle fait référence aux sept provinces historiques du Pays Basque.
C'est aussi le nom héraldique des armoiries du Pays basque incluant les sept provinces suivantes : d'une part les quatre provinces espagnoles qui sont l'Alava, le Guipúzcoa, la Biscaye (formant de nos jours la Communauté autonome basque et la province constituée par l'ancien royaume de Navarre (aujourd'hui Navarre), de l'autre les trois provinces françaises que sont le Labourd, la Basse-Navarre et la Soule faisant partie des Pyrénées-Atlantiques. Les armoiries sont constituées de 6 parties représentant chaque province, la Navarre et la Basse-Navarre ayant le même blason, celui du royaume de Navarre où les deux actuelles provinces étaient réunies jusqu'au début du XVIe siècle.
A. PAILLOUX (Librairie...)
Pas d'information.
SYNDICAT D'INITIATIVE
LE FARNIE (Restaurant...)
Il n'existe plus.
Libellés :
brochure
Publicités diverses (brochure du musée basque)

DUCRETET - THOMSON (Radios etc...)
Ducretet s'est rapproché de la Compagnie Française Thomson-Houston. Dans les années 30 la production porte progressivement la marque Ducretet-Thomson. Une série d'appareils ont été vendus sous le nom "La Voix Du Monde".
Un site très bien renseigné: doctsf.com
A. ARTUGOUHA (Chaussures)
Le magasin existe toujours et est situé au mème endroit!
COUSSEAU (Stores...)
Toujours en activité! La preuve : le site Cousseau
L. ARTEON (Bijoux...)
Egalement en activité. Voici un apperçu: le magasin Arthéon
DARANATZ (Chocolats...)
Le magasin est toujours là. La présentation des produits: Daranatz
Et la liqueur IZARRA dont j'ai déjà publié une publicité en couleur.
Libellés :
brochure
ATCRB Tarifs
!!!Attention les tarifs et N° de téléphones ne sont plus bons...!!!
ATCRB autocars (Pays Basque)


J'ai trouvé cette brochure dans un vieux livre sur le Pays Basque....comme quoi, des "trésors" se cachent encore....
mardi 25 décembre 2007
Cie franco-bilbaïne

L'aéroport de Blancpignon est l'ancien nom de celui de "Biarritz - Anglet - Bayonne"
L’avant Parme commence en décembre 1908 lorsque le Dr Gallard, adjoint au maire de Biarritz, crée le Comité d’aviation « Bayonne-Biarritz ». Déjà, les frères Wright ont effectué un premier vol libre avec leur « Flyer », en 1903 et Clément Ader a fait décoller un « plus lourd que l’air ». En 1908, Léon Delagrange devient « recordman du monde » avec un vol de 3,925 km en 6 min 30 s sur avion Voisin. Au début de 1909, Blériot vient sur la Côte pour le choix d’un terrain. Après onze mois de réflexion, le Comité se prononce pour un emplacement situé entre la route de Bayonne à Ustaritz et la Nive, à Bassussarry. Pour financer le projet : une Société anonyme, au capital de 160000 F, principalement souscrit par les casinos de Biarritz. L’inauguration a lieu, le 29 mars 1910, en présence du roi Édouard VII. Blériot est l’animateur de la journée et régale les spectateurs par des démonstrations audacieuses.
L’aérodrome est véritablement lancé lors de la semaine du 16 au 21 août 1910 où est organisée une « Grande semaine d’aviation » avec les pilotes les plus renommés : Tabuteau (sur avion Farman), Nieuport (Nieuport), Picard (Savary), Dufour (Voisin), Granel (Blériot), Mauvais (Sommer), Garnier (Garnier), Chateau (Letellier). Maurice Tabuteau rafle toutes les primes et offre des baptêmes de l’air à… 200 F (700 ¤) les deux tours de piste. Transportés d’enthousiasme, les candidats attendent leur tour jusqu’à la nuit !
En 1911, l’Aéro-club « Bayonne-Biarritz » recherche un terrain moins encaissé que celui de la Nive et situé plus près de Biarritz. Le site de la « Chambre d’Amour », à Anglet, est retenu. En 1912, une souscription lancée au profit de l’aviation est un succès et permet l’aménagement d’un hangar et l’achat d’un Blériot XI. La municipalité de Biarritz arase quelques dunes proéminentes et loue le terrain, pour 90 ans, à la ville d’Anglet. L’interruption d’une chasse à courre, pour assister à l’arrivée d’un aviateur, se renouvellera de plus en plus souvent.
Après le grand conflit 1914-1918, le « rêve un peu fou » d’une aviation commerciale, entrevu en 1913, se matérialisera bientôt. Sur un site un peu vallonné, le nouveau terrain de Parme est choisi et la Société anonyme des transports aéronautiques du Sud-Ouest est constituée, en 1919. Trois Farman F40H sont achetés avec les crédits apportés par les casinos. S’ajouteront les célèbres Caudron G3 et des Farman F50P. Les fonds venant à manquer, les villes de Bayonne et de Bilbao pourvoiront au débours et constitueront la « Compagnie Franco-Bilbaïne de Transports Aéronautiques ». Le 27 juin 1920, le service A/R d’une ligne côtière Bayonne-Bilbao partant de l’Adour, à Blancpignon, est assuré par deux hydravions Tellier-Levy T3 et coûte 100 F (92 ¤). Un beau livre illustré qui se lit d’un trait.
L’aérodrome est véritablement lancé lors de la semaine du 16 au 21 août 1910 où est organisée une « Grande semaine d’aviation » avec les pilotes les plus renommés : Tabuteau (sur avion Farman), Nieuport (Nieuport), Picard (Savary), Dufour (Voisin), Granel (Blériot), Mauvais (Sommer), Garnier (Garnier), Chateau (Letellier). Maurice Tabuteau rafle toutes les primes et offre des baptêmes de l’air à… 200 F (700 ¤) les deux tours de piste. Transportés d’enthousiasme, les candidats attendent leur tour jusqu’à la nuit !
En 1911, l’Aéro-club « Bayonne-Biarritz » recherche un terrain moins encaissé que celui de la Nive et situé plus près de Biarritz. Le site de la « Chambre d’Amour », à Anglet, est retenu. En 1912, une souscription lancée au profit de l’aviation est un succès et permet l’aménagement d’un hangar et l’achat d’un Blériot XI. La municipalité de Biarritz arase quelques dunes proéminentes et loue le terrain, pour 90 ans, à la ville d’Anglet. L’interruption d’une chasse à courre, pour assister à l’arrivée d’un aviateur, se renouvellera de plus en plus souvent.
Après le grand conflit 1914-1918, le « rêve un peu fou » d’une aviation commerciale, entrevu en 1913, se matérialisera bientôt. Sur un site un peu vallonné, le nouveau terrain de Parme est choisi et la Société anonyme des transports aéronautiques du Sud-Ouest est constituée, en 1919. Trois Farman F40H sont achetés avec les crédits apportés par les casinos. S’ajouteront les célèbres Caudron G3 et des Farman F50P. Les fonds venant à manquer, les villes de Bayonne et de Bilbao pourvoiront au débours et constitueront la « Compagnie Franco-Bilbaïne de Transports Aéronautiques ». Le 27 juin 1920, le service A/R d’une ligne côtière Bayonne-Bilbao partant de l’Adour, à Blancpignon, est assuré par deux hydravions Tellier-Levy T3 et coûte 100 F (92 ¤). Un beau livre illustré qui se lit d’un trait.
(1) « Histoire de l’aviation au Pays Basque» - Bernard Vivier - Editions Atlantica - mai 2005.
Voir également:
Libellés :
transport
Byrrh (Chasseur Français) Novembre 1958

C'est pas sympa cette vieille publicité de boisson récupérée dans un magazine du "Chasseur français" de 1958.
Okley (L'auteur)
Né un 29 novembre à Nantes, Okley, de son vrai nom Pierre Gilardeau, va lier tout au long de sa carrière sa passion pour la navigation aérienne et son inclination, au niveau pictural, pour la représentation de la pin-up.
Très jeune, il assemble des maquettes d’avions et s’adonne avec enthousiasme à ce passe-temps. Il obtient, par la suite, le brevet des sports aériens, puis il tente le concours d’entrée à l’école des officiers mécaniciens de l’armée de l’air où il échoue.
C’est en secondant son père, agent général des ventes des engrais d’Auby, qu’il débute dans la vie active. A l’occasion de cette collaboration, il soumet deux projets d’affiches qui ne seront malheureusement pas retenus. Autodidacte, le jeune artiste persévère et se révèle au travers de l’affiche graphique. Il adopte, plus tard, le pseudonyme d’Okley pour ne pas entacher le nom familial, ses parents désapprouvant cette nouvelle voie professionnelle dans laquelle il s’engage, où il peint les charmes et la beauté de la femme.
Après avoir créé sa première affiche en 1946, à l’occasion d’un meeting aérien qui se déroule près de Nantes, il remporte en 1952, le premier prix du concours d’affiches Byrrh. Encouragé par ce succès, il décide alors, de tenter sa chance à Paris. Okley réalise des dessins publicitaires destinés à la presse ainsi que des graphismes séduisants pour les maillots de bain Jantzen et les sous-vêtements Empreinte. Mais la création d’une affiche pour le cabaret La Nouvelle Eve, en 1956, marque un tournant dans sa carrière. Dès lors, il réalise un très grand nombre d’affiches pour le monde du spectacle et collabore avec les plus grandes scènes parisiennes comme les Folies Bergère, le Moulin Rouge, le Casino de Paris… Il signe également, à partir de 1967 et ce pour une vingtaine d’années, les affiches des spectacles sur glace Holiday on Ice. Simultanément, il conçoit des affiches de cinéma, telles que Un Taxi pour Tobrouk, Ave Maria… Okley multiplie ses collaborations dans le domaine culturel, ainsi il illustre des couvertures de livres, crée des pochettes de disques, mais aussi des affiches pour les cirques Amar, Bouglione et Pinder.
Bien que les créateurs de pin-up américaines tels qu’Elvgren, Petty et Vargas aient inspiré son œuvre, Okley porte également une grande admiration à Jean-Gabriel Domergue, dessinateur de la « Parisienne » dans les années trente et quarante, ainsi qu’aux affichistes Gruau et Brenot. Lorsqu’il réalise une affiche, Okley esquisse d’abord une mise en page, puis il prend des photographies qui deviennent la base de son travail. Il interprète alors ces prises de vue et il les enrichit de toute son imagination d’homme passionné. Tel un enchanteur, Okley nous invite au spectacle et nous fait rêver avec ses personnages féminins qui expriment toujours avec justesse la grâce et la séduction.Okley est décédé le 27 octobre 2007 à Guérande.
Site excellent sur les affiches: LE CENTRE DE L'AFFICHE
Libellés :
1958,
Boisson (Drink)
Izarra

"...sans oublier la fameuse liqueur basque inventée en 1835 par Joseph Grattau, passionné de botanique, qui mit au point l'alliance des saveurs et des parfums d'une vingtaine de plantes dont le secret est toujours bien gardé même si le nom de certaines d'entre elles a été dévoilé lors de la visite de l'herboristerie de la liqueur "Izarra", de ses chais et de ses précieux alambics..."
Extrait d'un blog sur les arts culinaires du Pays Basque:
Libellés :
Boisson (Drink)
oceanic (Chasseur Français) Novembre 1958

Le fabricant français a décliné sous toutes ses formes le thème de l’océan, alors que son siège social a toujours été parisien. Son logotype, bien qu’ayant évolué à plusieurs reprises, représente toujours un paquebot. Les modèles portent généralement un nom rappelant la mer. Les récepteurs Océanic se veulent populaires, et ils se situent dans la gamme des récepteurs assez bon marché. Océanic est absorbé par LMT-ITT vers 1966.
Voir le site sympa: Doctsf.com
Libellés :
1958,
communication
Renault (Chasseur Français) Juillet 1957

Utilitaire la semaine avec sa vaste surface de chargement et ses 600 kg de charge, la Domaine se transforme, le week-end, en familiale haut de gamme. Une sorte de retour aux sources pour une auto déclinée sur la base de la Frégate et qui a reçu en cadeau une tenue de route superbe, un moteur puissant et un freinage digne de ce nom.
Un site sympa sur les modèles: http://leroux.andre.free.fr/simi67.htm
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